Webinaire Endométriose : évolution des symptômes et prise en charge
Qu'est ce que l'endométriose, cette maladie qui touche une femme sur dix et qui est pourtant encore mal connue ? Comment évoluent les symptômes au cours du temps ? Comment améliorer la prise en charge de l’endométriose du point de vue des patientes ?
Parce qu’il est urgent de briser le silence autour de cette maladie et de venir en aide aux femmes qui souffrent, la Fondation Paris-Saclay organise un webinaire présentant l’endométriose et les recherches menées à l’Université sur ce sujet, le mardi 12 juillet de 13h à 14h.
Ce webinaire sera animé par Solène Gouesbet, doctorante en épidémiologie à l’Université Paris-Saclay. Un temps important sera consacré à l’échange avec les participant.es du webinaire et à leurs questions.
Webinaire ouvert à tous, sans inscription
Pour participer au webinaire : ici
Solène Gouesbet
Solène Gouesbet est doctorante en épidémiologie sur l’endométriose à l’Université́ Paris-Saclay. Elle a débuté́ son doctorat en octobre 2020 au sein de l’équipe Inserm “Exposome et Hérédité́“ sous la direction du Dr Marina Kvaskoff.
Avant de s’engager dans ce projet doctoral, elle a tout d’abord exercé en tant qu’infirmière dans différents services. Par la suite, Solène Gouesbet a été diplômée du Master of Public Health de l’École des Hautes Études en Santé Publique (EHESP). Avec cette nouvelle formation, elle a rejoint l’équipe ComPaRe (La Communauté́ de Patients pour la Recherche) où elle a développé son goût pour la recherche et son envie de s’investir dans la recherche sur l’endométriose. C’est un projet qui lui tenait à cœur car elle voulait contribuer à briser le silence autour de cette maladie et venir en aide aux femmes qui en souffrent.
Pour aller plus loin dans cette démarche, Solène Gouesbet a décidé de s’engager dans un doctorat en épidémiologie sur l’endométriose. Son projet vise notamment à étudier la prise en charge des patientes et l’évolution des douleurs liées à l’endométriose au cours du temps.
Le mécène
Le travail de thèse de Solène Gouesbet a reçu le soutien du Crédit Agricole Ile-de-France Mécénat.